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Chirurgie des bras & des cuisses
Lifting de bras
Le lifting de bras (ou brachioplastie ou dermolipectomie des bras) vise à retirer l’excès de peau situé à la face interne du bras. Cet excès, souvent inesthétique, peut entraîner une gêne à l’habillement.
Plusieurs types de lifting de bras existant, le Docteur Laveaux vous proposera la méthode la plus adaptée à votre cas :
- le lifting à cicatrice verticale est indiqué en cas d’excès cutané important. Il entraîne une cicatrice tout le long de la face interne du bras, pouvant même dépasser le coude dans certains cas.
L’intervention a lieu sous anesthésie générale. L’hospitalisation dure 10 à 24 heures. La durée d’intervention varie de 1h30 à 2h. - le lifting à cicatrice horizontale est destiné à la correction des excès cutanés modérés situés à la partie haute du bras. L’amélioration est plus modeste mais la cicatrice est discrète, dissimulée dans un pli du creux de l’aisselle.
L’intervention a lieu en ambulatoire sous anesthésie locale “aidée” (diazanalgésie). La durée d’intervention est de 1h environ. - le lifting à cicatrice en T représente un compromis entre les 2 techniques précédentes, permettant de corriger correctement l’excès cutané de la partie supérieure du bras au prix d’une cicatrice horizontale et d’une cicatrice verticale de quelques centimètres.
- Dans certains cas, si l’excès de peau est modéré et selon la qualité de peau un lifting de bras sans cicatrice pourra être proposé en utilisant la technologie J-plasma Renuvion®.
Selon les cas, l’intervention a lieu soit en ambulatoire sous anesthésie locale “aidée”, soit sous anesthésie générale au cours d’une hospitalisation de 24 heures.
La durée d’intervention varie de 1h30 à 2h30. Dans tous les cas, une liposuccion est très souvent associée pour retirer l’excédent graisseux au niveau de toute la circonférence du bras.
Aucun drain n’est mis en place.
La douleur est variable, peu importante en règle générale et surtout due à la liposuccion. Les pansements sont semi-perméables, les douches sont donc autorisées.
La cicatrisation complète est obtenue en 2 à 3 semaines. Des plaques spéciales devront être appliquées sur les cicatrices, même après la cicatrisation, pendant 2 à 3 mois afin d’améliorer l’aspect des cicatrices.
Le port d’une brassière de contention n’est pas recommandé afin d’éviter un oedème invalidant des mains.
La vie professionnelle peut être reprise entre 1 et 3 semaines post-opératoires en fonction du métier.
La reprise des activités sportives varient de 4 à 6 semaines.
Le résultat définitif n’est apprécié qu’après 6 à 12 mois, en particulier en raison du temps nécessaire pour l’atténuation des cicatrices.
Les cicatrices sont longues mais discrètes du fait de leur finesse et de leur blancheur une fois arrivées à maturité ; de plus, bien situées, elles sont invisibles de face comme de dos lorsque les bras sont le long du corps (position la plus fréquente).
Comme pour toute intervention chirurgicale, un certain nombre de complications peuvent survenir. Mais la probabilité de survenue de ces complications est réduite entre les mains d’un chirurgien plasticien qualifié et en présence d’un anesthésiste compétent.
L’observance par le patient des consignes données par le chirurgien est également essentielle, notamment :
- l’arrêt du tabac 1 mois avant et après l’intervention (diminution de tous les risques) ;
- l’arrêt de la pilule contraceptive 2 mois avant et après l’intervention (diminution des risques de phlébite et d’embolie pulmonaire) ;
- l’absence de prise d’aspirine pendant 10 jours avant et après l’intervention (diminution des risques d’hématomes) ;
- le cas échéant, respect de l’objectif de poids à atteindre avant l’intervention déterminé avec votre chirurgien (diminution des risques de phlébite et d’embolie pulmonaire, risque de mauvais résultat esthétique).
Parmi les complications rares mais possibles, on peut citer notamment, sans exhaustivité, les risques d’hématome, d’infection, de problème cicatriciel et de complications thrombo-emboliques (phlébite).
En cas de survenue d’une complication, une prise en charge adaptée sera mise en œuvre.
S’agissant d’un acte à visée purement esthétique, aucune prise en charge n’est accordée par l’assurance maladie.
Dans certains cas (excès de peau très important après amaigrissement), un accord pour un remboursement partiel du coût de l’intervention pourra être demandé. Un médecin conseil de votre caisse d’assurance maladie devra alors vous examiner.
En cas d’accord, il restera à votre charge les dépassements d’honoraires du chirurgien et de l’anesthésiste qui pourront être remboursés en partie ou en totalité par votre mutuelle.
Lifting des cuisses
Le lifting de cuisses (ou cruroplastie ou dermolipectomie des cuisses) vise à retirer l’excès de peau situé à la face interne des cuisses. Cet excès, souvent inesthétique, peut entraîner une gêne à l’habillement.
Plusieurs types de lifting de cuisses existant, le Docteur Laveaux vous proposera la méthode la plus adaptée à votre cas :
- le lifting à cicatrice verticale est indiqué en cas d’excès cutané en largeur prédominant. Il entraîne une cicatrice tout au long de la face interne des cuisses, pouvant même dépasser le genou dans certains cas ;
- le lifting à cicatrice horizontale est destiné à la correction des excès cutanés en longueur. L’amélioration est plus modeste mais la cicatrice est plus discrète, située dans le pli de l’aine. Pour éviter que la peau qui a été tirée de bas en haut ne redescende, celle-ci est fixée en profondeur aux ligaments du haut de la cuisse. Cette fixation entraîne des dépressions comparables à des points de capitons qui disparaissent spontanément au bout de quelques semaines ;
- le lifting à cicatrice en T est l’association des 2 techniques précédentes, permettant de corriger à la fois un excès cutané en largeur et un excès cutané en longueur.
- Dans certains cas, si l’excès de peau est modéré et selon la qualité de peau, un lifting de cuisses sans cicatrice pourra être proposé en utilisant la technologie J-plasma Renuvion®.
Selon les cas, l’intervention a lieu soit en ambulatoire sous anesthésie locale “aidée” (diazanalgésie), soit sous anesthésie générale au cours d’une hospitalisation de 24 à 48 heures.
La durée d’intervention varie de 2h à 3h30 en fonction du travail à effectuer.
Une liposuccion est quasi-systématiquement associée en début d’intervention pour retirer l’excédent graisseux au niveau de toute la circonférence de la cuisse.
Aucun drain n’est mis en place.
La douleur est variable, peu importante en règle générale et surtout due à la liposuccion. Les pansements sont semi-perméables, les douches sont donc autorisées. La cicatrisation complète est obtenue en 2 à 3 semaines. Des plaques spéciales devront être appliquées sur les cicatrices, même après la cicatrisation, pendant 2 à 3 mois afin d’améliorer l’aspect des cicatrices.
Parfois, un traitement anticoagulant quotidien pourra être prescrit pendant 8 à 10 jours pour limiter le risque de survenue de certaines complications.
Le port d’un vêtement de contention (panty) est recommandé pendant 1 mois, jour et nuit.
La vie professionnelle peut être reprise entre 1 et 4 semaines post-opératoires en fonction du métier.
La reprise des activités sportives varient de 4 à 6 semaines.
Le résultat définitif n’est apprécié qu’après 6 à 12 mois, en particulier en raison du temps nécessaire pour l’atténuation des cicatrices.
Les cicatrices sont longues mais discrètes du fait de leur finesse et de leur blancheur une fois arrivées à maturité ; de plus, bien situées, elles sont invisibles de face comme de dos en position debout lorsque les pieds sont en position de marche (position la plus fréquente).
Comme pour toute intervention chirurgicale, un certain nombre de complications peuvent survenir. Mais la probabilité de survenue de ces complications est réduite entre les mains d’un chirurgien plasticien qualifié et en présence d’un anesthésiste compétent.
L’observance par le patient des consignes données par le chirurgien est également essentielle, notamment :
- l’arrêt du tabac 1 mois avant et après l’intervention (diminution de tous les risques) ;
- l’arrêt de la pilule contraceptive 2 mois avant et après l’intervention (diminution des risques de phlébite et d’embolie pulmonaire) ;
- l’absence de prise d’aspirine pendant 10 jours avant et après l’intervention (diminution des risques d’hématomes) ;
- le cas échéant, respect de l’objectif de poids à atteindre avant l’intervention déterminé avec votre chirurgien (diminution des risques de phlébite et d’embolie pulmonaire, risque de mauvais résultat esthétique).
Parmi les complications rares mais possibles, on peut citer notamment, sans exhaustivité, les risques d’hématome, d’infection, de problème cicatriciel et de complications thrombo-emboliques (phlébite).
En cas de survenue d’une complication, une prise en charge adaptée sera mise en œuvre.
S’agissant d’un acte à visée purement esthétique, aucune prise en charge n’est accordée par l’assurance maladie.
Dans certains cas (excès de peau très important après amaigrissement), un accord pour un remboursement partiel du coût de l’intervention pourra être demandé. Un médecin conseil de votre caisse d’assurance maladie devra alors vous examiner.
En cas d’accord, il restera à votre charge les dépassements d’honoraires du chirurgien et de l’anesthésiste qui pourront être remboursés en partie ou en totalité par votre mutuelle.